Dans la petite anecdote de mardi dernier j’ai abordé le sujet de la fameuse toile à tendre ; si vous l’avez lu vous en savez déjà beaucoup ! Mais voici un petit rappel des différents cas de figure où vous aurez besoin de faire tendre une toile : 

De retour de voyage vous rapportez en souvenir une toile roulée ?

Vous faîtes imprimer sur toile une photographie et comment accrocher cette impression ?

Artiste, vous souhaitez faire monter vos toiles sur châssis ?

Votre toile est détendue ou le châssis a voilé ?

 

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Un châssis en bois

Assemblé, il est fin prêt pour la tension.
Un châssis voilé, quesako ?

Quand un châssis en bois n’est pas de bonne qualité, trop léger par rapport au format final, ou qu’il est exposé à de l’humidité, des variantes de températures (éviter d’accrocher une toile au dessus d’un radiateur ou d’une cheminée, conseil d’amie), il peut vriller et donne l’impression de gondoler…

Le bois est une matière vivante qui “travaille” donc il est important dès le départ de choisir un bon support pour votre toile. Le problème c’est que c’est difficilement récupérable voire impossible. Dans ce cas là, on change le châssis.

 

Je vais donc tendre votre toile sur un châssis adapté, simple ou épais aux dimensions exactes de la surface à tendre et fixer un système d’attache correspondant au poids.

Différentes finitions sont envisageables : bordures couvertes d’un ruban toilé, clous de tapissier.

Enfin, la toile peut rester « nue » ou être habillée d’un encadrement, caisse américaine ou baguette classique. Se référer à l’article intitulé “Comment encadrer une toile?

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